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vendredi 28 février 2014

BREMONCOURT (54) - Maison-forte

Au pied du coteau de Brémoncourt, on peut encore voir une ancienne maison-forte
transformée, depuis des années, en annexe d'une ferme agricole.

Malheureusement, son état se dégrade jour après jour !

La maison-forte au pied du village

Aperçu historique

Terre relevant du duc de Lorraine, Brémoncourt fut inféodé, pour moitié, à la famille de Vandières-Sorcy dès le milieu du XIIIe siècle.

En 1291, le duc Ferri III de Lorraine (1251-1303) donna la terre de Brémoncourt et celles de Lenoncourt et de Plombières, à son quatrième fils, Ferry.

Le nouveau seigneur de Brémoncourt et sa femme, Marguerite de Blâmont, favorisent les abbayes d'Etival et de Beaupré en les dotant de terres et d'étangs sur le ban de Brémoncourt, de Chaumont, d'Einvaux et de Froville. Des étangs et deux moulins sont alors aménagés à Brémoncourt à côtés des bâtiments agricoles et de la maison-forte (bâtie avant 1319).

Entre 1317 et 1321, Ferry et ses fils, Jacques et Gérard, endettés, sont contraints de vendre la moitié du village de Brémoncourt ainsi qu'une partie de la maison-forte à Mathieu de Lorraine, leur cousin. Ainsi, le 19 janvier 1319, Mathieu de Lorraine acheta la moitié de Brémoncourt à ses cousins, Jacques et Gérard. Le 10 juin 1321, le mardi avant la Saint-Barnabé, Jacques de Brémoncourt vendit ainsi à son parent, la grange pour 16 livres tournois. Enfin, le 1er septembre 1321, le même Jacques se dessaisit des trois quarts de la maison-forte pour 74 livres tournois.

Au début du XVe siècle, la maison-forte passa au chevalier Collignon de Ludres, bailli de Nancy et capitaine de Neufchâteau.

Après 1427, la maison-forte de Brémoncourt devint la propriété des familles de Deuilly, de Ville-sur-Illon et d'Haraucourt. En effet, la fille de Collignon de Ludres, Jeanne, épousa le maréchal de Lorraine, Charlot de Deuilly ; puis leur fille, Catherine de Deuilly, devint la femme d'Antoine de Ville-sur-Illon, et enfin, Jeanne de Ville-sur-Illon se maria à Jacques de Haraucourt.
Le 17 juin 1506, Jacob et Philippe de Haraucourt firent leurs reprises auprès du duc René II de Lorraine, pour leurs biens de Haraucourt, Pulligny, Brémoncourt, Removile, Richardménil.

BREMONCOURT (54) - Maison-forte
La maison-forte, côté ferme

La seigneurie de Brémoncourt passa ensuite à la famille de Raigecourt. Henri de Raigecourt, grand-maître de l'artillerie de Lorraine prit ainsi possession de la maison-forte le 27 juillet 1622. Pour service rendu, il fut nommé commissaire général des guerres, le 10 septembre.

En 1644, après les dépradations des soldats pendant la Guerre de Trente Ans, le village de Brémoncourt ne comptait plus que trois foyers.

Le 17 février 1663, le neveu d'Henri de Raigecourt, François-Henri, grand-veneur de Lorraine et du Barrois, époux de Beatrix de Beaufremont, rendit hommage au duc de Lorraine pour sa baronnie de Brémoncourt dont il venait d'hériter. Ensuite se succédèrent plusieurs membres de la famille de Raigecourt. Ainsi, Claude-Bernard de Raigecourt, seigneur d'Ancerville, fils de François de Raigecourt, devint baron de Brémoncourt ; et Nicolas de Raigecourt, colonel d'un régiment de cavalerie du roi de France et chambellan du duc Léopold de Lorraine, fut fait comte de Brémoncourt.

En 1710, les archives rappellent que la haute, moyenne et basse justice étaient détenues par les sires de Raigecourt.

Pour finir, les seigneurs de Brémoncourt étaient également collateurs de la chapelle Saint-Nicolas sise dans l'église paroissiale Saint-Rémy.


BREMONCOURT (54) - Maison-forte
La façade présente des ouvertures des XVIIe-XVIIIe siècles.
La tour nord-est (à droite sur la photo)

Architecture

Située dans une dépression marneuse, à 400 m au sud-est de l'église et du village, la maison-forte de Brémoncourt occupe une terrasse quasiment carrée de 30 m sur 33 m, avec, sur trois côté, un fossé large de 10 m sur 1 m de profondeur et sur 60 m de long. Un filet d'eau coule aujourd'hui dans le fossé alors qu'à l'époque de son occupation par les seigneurs de Brémoncourt, il était inondable grâce à l'eau de l'étang tout proche (aujourd'hui disparu !)

Le bâtiment actuel, en forme un U, est composé d'un corps principal de 28 m x 9 m à l'est, flanqué de deux tours circulaires, de 5 m de diamètre, au nord-est et au sud-est et de deux ailes en retour.

Une chapelle, dédiée à Sainte-Anne, existait aussi à l'intérieur même de la maison-forte, dès 1617. Un officiant était chargé de célébrer l'office tous les vendredis.

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Vous pouvez agrandir les vignettes en cliquant dessus !

BREMONCOURT (54) - Maison-forte
La maison-forte depuis le coteau
BREMONCOURT (54) - Maison-forte
La maison-forte avec la tour en partie éventrée
BREMONCOURT (54) - Maison-forte

BREMONCOURT (54) - Maison-forte
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Localisation du village de Brémoncourt en Meurthe-et-Moselle

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Copyright - Olivier PETIT - 2014 © Tous droits réservés

lundi 24 février 2014

LUNEVILLE (54) - Exposition "L'Homme en devenir II"

Le château de Lunéville propose actuellement une exposition
du sculpteur alsacien Paul Flickinger

"L'homme en devenir II"

Inspiré par Picasso, Max Ernst et Jean Dubuffet, Paul Flickinger a réalisé
11 sculptures monumentales anthropomorphes. 







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Situation de Lunéville en Meurthe-et-Moselle


Localisation de l'exposition dans Lunéville
(Vous pouvez agrandir la carte en cliquant ici)

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vendredi 21 février 2014

DOMGERMAIN (54) - La chapelle Saint-Maurice

Un peu à l'écart du centre du village de Domgermain, vous pourrez découvrir, à flanc de coteau, la modeste chapelle Saint-Maurice et sa superbe Vierge de Pitié du XVIe siècle.

La chapelle

Édifiée dans la seconde moitié du XIVe siècle, cette chapelle était à l'origine l'ancienne église paroissiale. Devenue trop vétuste en 1703, seul le chœur fut conservé et une nouvelle église fut alors construite dans le centre du village (et ce malgré le mécontentement des habitants de Domgermain en 1711).
La tempête de 1999 endommagea la chapelle qui fut heureusement restauré en 2001 par la commune avec notamment le concours du Conseil Général de Meurthe-et-Moselle et le Ministère de l'Intérieur.

La chapelle se présente sous la forme d'un quadrilatère dont la baie gothique du chevet plat est murée. Une autre ouverture sur le mur nord remontrait au XVIIIe siècle. L'intérieur, qui conserve un bénitier, des pierres tombales et les fonds baptismaux, est voûté sur une croisée d'ogives datant du XVe siècle.

La Vierge de Pitié

Malgré son mauvais état, cette sculpture, insérée dans la niche surmontant la porte, demeure l'un des plus beaux exemples de Pietà du début du XVIe siècle (1520-1530) ayant conservé sa polychromie : bleue et rouge pour les vêtements de la Vierge (qui n'a plus ses mains et le bout de son nez). Quand au Christ, il a malheureusement perdu sa tête et ses jambes (un pied subsiste néanmoins en bas à droite) !

Ce témoin émouvant de la sculpture religieuse du début du XVIe siècle est classée monument historique depuis 1975.

Les restaurations de 2014

Depuis février 2014, la chapelle fait l'objet de toutes les attentions. En effet, une campagne de restauration intérieure est cours et elle révèle des trésors cachés : fresques (sous les enduits) et morceaux de retable (retourné et servant en partie de dallage) ; ils datent vraisemblablement du XVIe siècle ! Affaire à suivre.

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Vous pouvez agrandir les vignettes en cliquant dessus !

DOMGERMAIN (54) - La chapelle Saint-Maurice

DOMGERMAIN (54) - La chapelle Saint-Maurice

DOMGERMAIN (54) - La chapelle Saint-Maurice
Chevet plat - Baie gothique à remplage lobé murée

DOMGERMAIN (54) - La chapelle Saint-Maurice
L'entrée refaite sous un appentis avec la Vierge de Pitié (ou Pietà)
du début du XVIe siècle, et la trace de l'ancien arc triomphal séparant la nef du chœur.

DOMGERMAIN (54) - La chapelle Saint-Maurice - Pietà

DOMGERMAIN (54) - La chapelle Saint-Maurice - Pietà
La Pietà polychrome mutilée

DOMGERMAIN (54) - La chapelle Saint-Maurice - Pietà
La Vierge avec sa guimpe et polychromie (bleue et rouge)
DOMGERMAIN (54) - La chapelle Saint-Maurice - Pietà

DOMGERMAIN (54) - La chapelle Saint-Maurice - Pietà

DOMGERMAIN (54) - La chapelle Saint-Maurice - Pietà
Le corps du Christ sans tête ni jambes

Article de l'Est Républicain du 18/02/2014


Article de l'Est Républicain du 21/02/2014



Sur internet

La chapelle
 sur le site de la commune de Domgermain

Localisation de Domgermain en Meurthe-et-Moselle

Situation de la chapelle Saint-Maurice à Domgermain
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Copyright - Olivier PETIT - 2011-2014 © Tous droits réservés

mercredi 19 février 2014

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin

Bâtie dans le quartier d'Outre-Seille, l'église Saint-Maximin de Metz
figure parmi les plus remarquables édifices religieux messins !

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin
La nef de l'église


Aperçu historique

Les documents concernant la construction de l'église Saint-Maximin sont lacunaires.

Dès le Ve siècle, un premier sanctuaire fut bâti dans le quartier Outre-Seille ; il était apparemment dédié à Saint-Urbice, 15e évêque de Metz.

Au IXe siècle, l'édifice fut modifié et changea de saint patron ; qui devint Saint-Maximin-outre-Seille.

Une charte de l'évêque Adalbéron de Metz (929-954) mentionne l'église Saint-Maximin en 944.

En 1174, le pape Alexandre III (1159-1181) confirma la dépendance de l'église vis à vis du chapitre de la cathédrale de Metz. Les chanoines nommaient alors l'officiant.

Vers 1191, avec les fonds du chapitre de la cathédrale Saint-Étienne de Metz, l'église Saint-Maximin fut reconstruite en style roman. La nef était alors plafonnée et non voûtée avec des piliers carrés.

Au XIVe siècle, les bras du transept reçurent un voûtement gothique

En 1365, le notaire Poincignons-Dieuamy et son épouse Alixette Mortels demandèrent l'érection d'une chapelle funéraire à droite du chœur. Ainsi, plusieurs membres de la famille Poincignons-Dieuamy, mais également des familles Louve et de Gournay furent ensevelis dans cette chapelle. En raison du nombre de défunts enterrés là, elle prit le nom de chapelle des Gournay dès 1452.

Au XVe siècle, la famille Louve fit voûter la nef romane en retaillant les piliers carrés d'origine (car l'église était plafonnée !).

Des vitraux que Valentin Bousch exécuta pour la chapelle des Gournay au début du XVIe siècle, il ne reste rien.

En 1753, la façade fut quelque peu modifiée avec l'abandon du portail ogival remplacé par un autre plus en accord avec le goût de l'époque.

En 1842, la façade reçu deux nouveaux portails, de style néo-renaissance, placés de part et d'autre du portail central baroque.

En 1846, la chapelle du Saint-Sacrement fut élevée contre le bas-côté sud en style néo-gothique.

En 1874, les fenêtres hautes de la nef furent élargies après une demande fait auprès de la municipalité en 1871 par le conseil de fabrique.

En 1906, la municipalité, qui pensait détruire l'église en raison de sa vétusté, abandonna son projet avec le déclenchement de la Première Guerre Mondiale.

En 1960, les superbes vitraux de Jean Cocteau, à dominante pastel, furent placés dans les remplages des baies gothiques du chœur et du transept.

Classée monument historique depuis 1923, cette église fut restaurée de 1960 à 1970.


Plan basilical de l'église Saint-Maximin
avec transept légèrement débordant et abside polygonale
à sept pans 
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Vous pouvez agrandir les vignettes en cliquant dessus !

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Le clocher roman (Fin XIIe siècle)

Lorsqu'on arrive devant l'église Saint-Maxim, notre regard se porte immédiatement
vers le clocher roman dont chacune des faces présente une double baies géminées.

Dominant le sanctuaire, cette tour figure parmi les plus beaux exemples
de clocher roman lorrain de la fin du XIIe siècle.

La ressemblance avec celui de l'église Saint-Eucaire, sa voisine, est flagrante.

Typologiquement, il s'inscrit dans la tradition des clochers romans bâtis au-dessus
de la croisée du transept et qui apparaissent en Lorraine dès 1150.

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin
Le clocher roman dont l'étage campanaire présente
deux baies géminées en plein cintre
METZ (57) - Eglise Saint-Maximin

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin
L'étage campanaire avec ses double baies géminées à colonnette centrale
et chapiteau nu. Les abats-sons remontent au XIXe siècle.

Les murs gouttereaux (XIVe-XIXe siècles)

Quand on découvre l'extérieur du vaisseau de l'église Saint-Maximin, on remarque une certaine harmonie entre les fenêtres gothiques (et néo-gothiques) et les contreforts.

Les baies présentent deux lancettes finissant en arc trilobé surmonté d'un oculus lui-aussi trilobé
ou composé de mouchettes, soufflets et écoinçons

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin
Mur gouttereau sud - Baies gothiques de la chapelle des Gournay, en arc brisé
à lancettes aux remplages et oculus trilobés et écoinçons
METZ (57) - Eglise Saint-Maximin
Mur gouttereau sud - Baies néo-gothiques à lancettes à arcs trilobés surmontées
de soufflets, mouchettes et écoinçons

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin
L'église Saint-Maximin depuis la rue Mazelle


La façade (XIIe-XIXe siècles)

Sous un oculus quadrilobé d'origine roman, on découvre le monumental portail baroque
aux vantaux de bois peint d'un rouge carmin avec, en guise de sculpture, un angelots
dans la partie supérieure.

De chaque coté, on trouve deux portails plus modestes remontant
au milieu du XIXe siècle et de style néo-renaissance

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin
La façade - Le portail central (1753) et les portes latérales (1872)

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin
La façade - Le portail néo-renaissance située à droite du portail central

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin
Le portail central baroque avec son riche décor
METZ (57) - Eglise Saint-Maximin
Le fronton finement ouvragé avec une corbeille florale et des pots à feu
METZ (57) - Eglise Saint-Maximin


La nef romano-gothique (XIIe-XIXe siècle)

La nef lumineuse de l'église Saint-Maximin invite immédiatement au recueillement
et à la contemplation. La beauté de ce vaisseau de pierre, composé de six travées barlongues,
associe colonnes romanes retaillées supportant un voûtement sur croisées d'ogives gothiques.

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin
La nef
METZ (57) - Eglise Saint-Maximin

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin
La nef et ses bas-côtés depuis le chœur

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin
Nef - Le voûtement sur croisées d'ogives gothiques


Le bas-côté sud (XVe siècle)

Le bas-côté sud est voûté sur croisées d'ogives gothiques et clefs blasonnées
aux armes de la famille de Louve

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin
La chapelle du Saint-Sacrement et le bas-côté sud


La chapelle du Saint-Sacrement (XVe-XIXe siècle)

Le bas-côté sud est doublé de la chapelle du Saint-Sacrement dont seule la dernière travée
est de la fin du XVe siècle ; les quatre autres ayant été construites, en style néo-gothique, en 1846.

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin
Dieu

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin
Un ange en prière

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin
Dernière travée (XVe siècle) avec voûtement à liernes et tiercerons
METZ (57) - Eglise Saint-Maximin

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin
Vierge à l'Enfant polychrome (XVIe siècle, repeints du XIXe siècle)

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin
Console avec deux têtes d'homme moustachu

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin
Console avec personnage (chevalier ?) mutilé

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin


La chapelle des Louve et des Gournay (1365-XVIe siècle)

A partir de 1365,  le notaire Poincignons-Dieuamy et son épouse Alixette Mortels firent édifier
une petite chapelle dédiée à Saint Georges et Saint-Eloi.

Par la suite, les membres de la famille Louve et de Gournay établirent leur sépulture dans cette chapelle ; des épitaphes remontant au XVe et XVIe siècle sont encore en place pour en témoigner.

Les monuments funéraires des membres des familles Louve et Gournay ont été détruits
au même titre que les beaux vitraux du maitre verrier Valentin Bousch.

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin
Arcades en anse de panier communiquant avec le chœur

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin
Enfeu renaissance avec chapiteau corinthien,
entablement à triglyphes et décor d'oves.
METZ (57) - Eglise Saint-Maximin

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin
Lavabo liturgique (XVe siècle)

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin
Voûtement à croisées d'ogives gothiques et clefs blasonnées
et fleuronnées (fin XVe siècle)

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin
Voûtement blasonné à liernes et tiercerons (Début XVIe siècle)

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin
Console  représentant "Le Christ mystérieux"
METZ (57) - Eglise Saint-Maximin

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin
La Vierge

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin
Voûtement du chœur en éventail et clef de voûte figurant l'Agnus Dei
METZ (57) - Eglise Saint-Maximin

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin
L'arc triomphal séparant la nef du chœur avec ses colonnes et chapiteaux romans

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin
Chapiteaux romans dont la corbeille est ornée de volutes végétales
et grappes de raisins
METZ (57) - Eglise Saint-Maximin

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin


Le bas-côté nord (XIIe-XVe siècles)

Ce bas-côté est identique à celui du sud mis à part qu'il n'est pas doublé
par une chapelle !

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin
Le bas-côté nord avec son voûtement sur croisées d'ogives gothiques
depuis le bras nord du transept
METZ (57) - Eglise Saint-Maximin

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin

METZ (57) - Eglise Saint-Maximin
Clef de voûte blasonnée aux armes de la famille de Louve

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Découvrez maintenant les vitraux de Jean Cocteau 
en cliquant sur l'image ci-dessous !

http://patrimoine-de-lorraine.blogspot.fr/2014/09/metz-57-vitraux-de-jean-cocteau-saint.html
 
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Localisation de la ville de Metz en Moselle

Situation de l'église Saint-Maximin (épingle turquoise) dans Metz
par rapport à la Porte des Allemands, au cloître des Récollets
et aux Musées de la Cour d'Or
 (Vous pouvez agrandir la carte en cliquant ICI )

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