En prenant la rue de la Primatiale, le visiteur peut admirer quelques belles portes
des XVIIe-XVIIIe siècles.
Dénommée ainsi dès 1834, cette rue porta d'autres noms : rue de la Faïencerie, petite rue
de la Primatiale avant la Révolution française ; rue de la Cathédrale, rue Médolly, rue
Loustallot et du Temple avant 1814, et enfin rue de la Vieille- Primatiale.
Dénommée ainsi dès 1834, cette rue porta d'autres noms : rue de la Faïencerie, petite rue
de la Primatiale avant la Révolution française ; rue de la Cathédrale, rue Médolly, rue
Loustallot et du Temple avant 1814, et enfin rue de la Vieille- Primatiale.
Percée en plusieurs fois à partir du XVIIe siècle et après la création de la ville neuve
par le duc Charles III, cette rue relie la rue du Pont-Mouja à celle du Manège.
Porte de la première partie du XIXe siècle avec son fronton à oeil de bœuf,
enroulement, frise à décor floral.
Son nom actuel vient de l'église provisoire édifiée par les chanoines du Chapitre de
Nancy, situé au 17 rue Montesquieu et qui le restera de 1609 à 1743.
Avec la cathédrale, construite de 1703 à 1743, cette église temporaire servit tout
de même de lieu de culte pour les chanoines.
Jadis, les rues des Chanoines, Mably et du Cloître appartenaient à cette rue.
Porte du XVIIIe siècle avec son tympan garni de volutes et enroulements ;
la clef d'arc est particulièrement travaillée.
L'une des portes du 1er quart du XVIIe siècle avec son arc surbaissé, sa ferronnerie
et son linteau affichant la date de sa construction, 1727.
Linteau affichant le millésime "1727"
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