Après avoir découvert l'extérieur de l'église Sainte-Libaire de Rambervillers
(visible en cliquant ici),
(visible en cliquant ici),
franchissons maintenant les portes de ce sanctuaire gothique !
La luminosité qui règne dans l'édifice révèle, le narthex passé, un vaisseau composé
d'une nef centrale séparée des bas-côtés par des grandes arcades en arcs brisés.
Le voûtement est composé de voutains remplissant les espaces entre les croisées d'ogives
aux clefs décorées de motifs intéressants (étoile, fleuron, soleil...)
Des vitraux d'origine, il ne reste rien ; ceux qu'on peut voir aujourd'hui remonte au XIXe siècle.
Mais la richesse de l'église de Rambervillers réside aussi dans sa statuaire classée de qualité.
On trouve ainsi, adossé au narthex, une pietà finement sculptée du début du XVIe siècle
ainsi qu'un groupe du XVe siècle figurant Sainte Anne, la Vierge et l'Enfant Jésus.
Puis dans le bas-côté nord, le visiteur peut découvrir les restes d'une ancienne mise au tombeau
en bois polychrome du XVIe siècle ; ceux-ci furent soustrait à la vindicte populaire au
moment de la Révolution française en étant cachés chez un certain Jean-Baptiste Vartier.
Ces trois statues, le Christ allongé, Saint-Jean et la Sainte-Vierge ont été replacé dans l'église
en 1944 et classées en juillet 2001.
La luminosité qui règne dans l'édifice révèle, le narthex passé, un vaisseau composé
d'une nef centrale séparée des bas-côtés par des grandes arcades en arcs brisés.
Le voûtement est composé de voutains remplissant les espaces entre les croisées d'ogives
aux clefs décorées de motifs intéressants (étoile, fleuron, soleil...)
Des vitraux d'origine, il ne reste rien ; ceux qu'on peut voir aujourd'hui remonte au XIXe siècle.
Mais la richesse de l'église de Rambervillers réside aussi dans sa statuaire classée de qualité.
On trouve ainsi, adossé au narthex, une pietà finement sculptée du début du XVIe siècle
ainsi qu'un groupe du XVe siècle figurant Sainte Anne, la Vierge et l'Enfant Jésus.
Puis dans le bas-côté nord, le visiteur peut découvrir les restes d'une ancienne mise au tombeau
en bois polychrome du XVIe siècle ; ceux-ci furent soustrait à la vindicte populaire au
moment de la Révolution française en étant cachés chez un certain Jean-Baptiste Vartier.
Ces trois statues, le Christ allongé, Saint-Jean et la Sainte-Vierge ont été replacé dans l'église
en 1944 et classées en juillet 2001.
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Vous pouvez agrandir les vignettes en cliquant dessus !
La nef depuis le narthex
La nef gothique voûtée sur croisées d'ogives et grandes arcades en arc brisé
La nef depuis le chœur
La nef avec le narthex, au fond, surmonté d'une tribune
à la balustrade ajourée d'oculus quadrilobés
La nef - Les arcades en arc brisé
La nef - Le voûtement sur croisées d'ogives gothiques
Le chœur gothique avec le Christ suspendu
La nef et le bas-côté nord
La nef et le bas-côté sud
Le bas-côté sud
La chapelle finissant le bas-côté sud
Le bas-côté nord
Clefs de voûte diverses et variées des bas-côtés
Le narthex et les statues
Sainte Anne, la Vierge et l'Enfant Jésus du XVe siècle
Pietà du XVIe siècle
Bas-côté nord - Vestiges d'une mise au tombeau
Saint-Jean
La Sainte Vierge
Le Christ allongé
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C'est moi ou les nefs de Rambervillers et de Saint-Maximin de Metz sont "jumelles" ? :-)
RépondreSupprimerOui il y a une similitude entre Rambervillers et Saint-Maximin de Metz. Tout simplement ces nefs sont typiques de l'architecture gothique de la fin du XVe siècle et du début du XVIe siècle ! Les arcs des arcades pénètrent directement dans les colonnes sans l'intermédiaire d'un chapiteau !
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