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dimanche 16 février 2014

NANCY (54) - Un drone filme la ville...

Le jeune homme de 18 ans, qui a fait la vidéo sur les monuments nancéiens depuis
un drone équipé d’une caméra GoPro, a été convoqué par le tribunal correctionnel de Nancy
pour "mise en danger de la vie d’autrui" !



On ne peut effectivement pas laisser n'importe qui utiliser des drones, sans autorisation ;
il en va de la sécurité de la population !

Cependant, il faut admettre que cette vidéo à au moins le mérite de sublimer Nancy
et son auteur n'a pas causé de désagréments !

La ville aurait même pu prévoir ce genre de vidéo de manière "officielle".

Un simple rappel à la loi serait bien suffisant plutôt qu'une condamnation. 

La naïveté de l'auteur de cette vidéo et sa méconnaissance de la loi lui ont causé bien du tord !

Affaire à suivre !

Voilà ci-dessous sa vidéo qui sublime Nancy.


et pour ceux qui veulent le soutenir, il existe une page créée sur facebook : 

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samedi 15 février 2014

TOUL (54) - Ancienne abbaye Saint-Evre

Dans le quartier Saint-Evre, on peut voir un superbe logis renaissance accolé à un porche d'entrée gothique qui appartenaient à l'ancienne abbaye Saint-Evre, fondée au VIe siècle.

Le logis remonte probablement aux années 1558-1591, quand l'abbé Jacques de Tavagny
fit reconstruire les bâtiments abbatiaux après l'installation des Français à Toul en 1552.

L'étage, qui est le plus remarquable, affiche une série de quatre baies aux dimensions différentes
et remaniées mais qui offrent encore des pilastres lisses surmontés de chapiteaux à visages
 humains, personnages faisant la ronde, volutes végétales, oves et perles ;
chaque tympan est ornée d'une large coquille Saint-Jacques !

Enfin à l'angle du logis, on trouve une figuration de la Tour de Babel, mais sans certitude !
La niche en-dessous montre un Bacchus enfant, postérieur au bâtiment.

 De l'ancienne abbaye subsistent également quelques bâtiments largement remaniés
que vous découvrirez plus tard !
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Vous pouvez agrandir les vignettes en cliquant dessus !

TOUL (54) - Ancienne abbaye Saint-Epvre

TOUL (54) - Ancienne abbaye Saint-Epvre

TOUL (54) - Ancienne abbaye Saint-Epvre

TOUL (54) - Ancienne abbaye Saint-Epvre

TOUL (54) - Ancienne abbaye Saint-Epvre

TOUL (54) - Ancienne abbaye Saint-Epvre

TOUL (54) - Ancienne abbaye Saint-Epvre

TOUL (54) - Ancienne abbaye Saint-Epvre

TOUL (54) - Ancienne abbaye Saint-Epvre

TOUL (54) - Ancienne abbaye Saint-Epvre

TOUL (54) - Ancienne abbaye Saint-Epvre

TOUL (54) - Ancienne abbaye Saint-Epvre

TOUL (54) - Ancienne abbaye Saint-Epvre

TOUL (54) - Ancienne abbaye Saint-Epvre


TOUL (54) - Ancienne abbaye Saint-Epvre
Figurant de la Tour de Babel ?
TOUL (54) - Ancienne abbaye Saint-Epvre

TOUL (54) - Ancienne abbaye Saint-Epvre
Bacchus enfant

TOUL (54) - Ancienne abbaye Saint-Epvre
Le porche d'entrée de l'abbaye (XVe siècle)
TOUL (54) - Ancienne abbaye Saint-Epvre

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Localisation de la ville de Toul en Meurthe-et-Moselle


Situation de l'ancienne abbaye Saint-Evre (église en noir et blanc)
dans la ville de Toul et par rapport aux autres curiosités cliquables
(Vous pouvez agrandir la carte en cliquant ICI)
 
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lundi 10 février 2014

TOUL (54) - Retable de l'autel de l'église des Carmélites de Pont-à-Mousson

La cathédrale Saint-Etienne de Toul conserve dans le transept sud un autel provenant
de l'église des Carmélites de Pont-à-Mousson ; il figure la Nativité. 

On doit cette œuvre magistrale, réalisé entre 1689 et 1691, au sculpteur Ignace Robert
(La Mothe, vers 1630/1635-Lenoncourt, vers 1714) qui s'inspira de l'autel du Val-de-Grace !

Installées à Pont-à-Mousson depuis 1627, les Carmélites souhaitaient un autel pour 
leur nouveau couvent dont les travaux s'étalèrent de 1685 à 1688.
Les religieuses engagèrent donc Ignace Robert pour la réalisation d'un grand autel moyennant
la somme de 400 écus blancs, via un acte notarié daté du 18 octobre 1689.
Le sculpteur s'engageait à livrer l'autel et son retable pour le mois de septembre 1690.

Voilà ci-dessous un extrait du contrat stipulant ce qu'attendaient les Carmélites : 
"C'est à scavoir trois figures du devant représentantes l'Enfant Jesus, la Vierge et saint Joseph
de la grandeur de six à sept pieds... ensuite, les barelieffes du derrier qui consistent en quatre figures,
et une autre qui sera derrier toutes barliefves accompagnées de ruynes, archytectures et 
paysages, arbres et toict de maison.... Faire gloire au dessus, dans la voute du grand autel,
qui regardera la Nativité d'embas, laquelle consiste au Pere Eternel, au St Esprit, et en anges
qui font le nombre de dix figures, accompagnées de nuages. Il fera aussi deux anges
en bois qui porteront un Gloria in Excelsis."


TOUL (54) - Retable de l'autel de l'église des Carmélites de Pont-à-Mousson

Ayant pris du retard, Ignace Robert n'acheva l'ensemble qu'en octobre 1691.
Il semble que les religieuses rechignèrent à payer la totalité de la somme prévue initialement,
en raison notamment des demandes complémentaires émises pendant la création de l'autel.
En effet, les Carmélites demandèrent l'ajout du pélican en haut et de deux termes sur la table.

Placé dans la nouvelle église, l'autel flambant-neuf fut alors béni le 17 octobre 1691. 

Vendu comme bien national à la Révolution, il fut acquis par l'abbé Delalle en 1839, qui souhaitait
le mettre dans sa cathédrale Saint-Étienne de Toul. Après quelques difficultés d'ordre
juridique, le retable et l'autel furent démontés en 1845 et envoyés à Toul.
 
 Ainsi, de 1869 à 1940, il ornait la chapelle Saint-Jean de la cathédrale Saint-Étienne de Toul.

Après les bombardements de 1940 et les dommages qu'il subi, l'autel fut remonté
après une restauration dans le transept sud en 1963.

TOUL (54) - Retable de l'autel de l'église des Carmélites de Pont-à-Mousson

 Haut de 12 mètres et large de 6 mètres, ce retable, de plan concave, est encadré par deux groupes
de colonnes jumelles à chapiteau corinthien (à feuilles d'acanthe et feuilles pendantes) qui
supportent un entablement, également d'ordre corinthien, orné de perles, baguettes, feuillages,
oves, denticules et de boutons floraux.

Au-dessus, le fronton en cul-de-four, sur lequel son figurés Dieu le Père, le Saint Esprit
et les angelots, est surmonté d'un pélican mystique.

TOUL (54) - Retable de l'autel de l'église des Carmélites de Pont-à-Mousson

La scène centrale du retable présente ainsi, au premier plan, l'Enfant Jésus entouré
de la Vierge Marie et de Saint-Joseph ; et au second plan, l'Adoration des bergers.

TOUL (54) - Retable de l'autel de l'église des Carmélites de Pont-à-Mousson

TOUL (54) - Retable de l'autel de l'église des Carmélites de Pont-à-Mousson

TOUL (54) - Retable de l'autel de l'église des Carmélites de Pont-à-Mousson

TOUL (54) - Retable de l'autel de l'église des Carmélites de Pont-à-Mousson

TOUL (54) - Retable de l'autel de l'église des Carmélites de Pont-à-Mousson

TOUL (54) - Retable de l'autel de l'église des Carmélites de Pont-à-Mousson

TOUL (54) - Retable de l'autel de l'église des Carmélites de Pont-à-Mousson

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samedi 8 février 2014

Des nouvelles de la chapelle templière de Libdeau !

Des nouvelles de la chapelle templière de Libdeau avec un article dans le Pèlerin Magazine !


Chapelle templière de Libdeau

Vous voulez faire un don pour la future restauration,
alors cliquez sur le lien ci-dessous :

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jeudi 6 février 2014

LOUVIGNY (57) - Le château-fort

Le village de Louvigny, au sud de Metz, possède un château-fort bâti au XIIIe siècle,
qui fait l'objet de restaurations via des chantiers de jeunes.

LOUVIGNY (57) - Le château-fort

Renaud de Gournay, seigneur de Louvigny, fit ériger cette forteresse dans la première moitié du XIVe
siècle (vers 1428), sur les fondations du château du XIIIe siècle. En raison, des conflits larvés entre
le duc de Lorraine et les Messeins, le château fut souvent assiégé au cours du XVe siècle. 

Ainsi, en septembre 1444, selon la Chronique de Philippe de Vigneulles, les troupes du duc de
Lorraine, René Ier d’Anjou, associées à celle du roi de France, s'attaquèrent au château.

LOUVIGNY (57) - Le château-fort
Château de Louvigny (Gravure -1860)

Le 5 mars 1489, l'armée du duc de Lorraine qui s'apprêtait à mettre le siège devant le château de
Louvigny, préféra fuir plutôt que d'affronter les Messins qui étaient supérieurs en nombre.

LOUVIGNY (57) - Le château-fort
Cartes postales du château de Louvigny (Première Guerre mondiale)
LOUVIGNY (57) - Le château-fort

Le 23 mars 1490, la garnison de Louvigny céda face aux assauts des hommes du duc René II
de Lorraine qui, cette fois ci, avait prévu 1 300 cavaliers et de 6 000 hommes d'armes.

Les 200 cavaliers et 200 piétons messins qui furent dépêchés à Louvigny pour faire échouer
le siège, furent repoussés et les captifs envoyés en prison à Pont-à-Mousson.

LOUVIGNY (57) - Le château-fort

Au cours du XVIe siècle, quatre seigneurs occupèrent Louvigny : Christophe Vorgiereux (à partir
de 1537), Marguerite d'Esch (dès 1549), Catherine le Hanay (en 1561) et Thiébaut de Gournay
(vers 1586). Le château fut alors transformé en résidence de plaisance, son côté
défensif quelque peu abandonné.

LOUVIGNY (57) - Le château-fort
Carte postale du château de Louvigny (Première Guerre mondiale)

En 1590, le conflit entre les Messins et les Lorrains reprit de plus belle. Le 25 février 1590,
l'armée du duc Charles III de Lorraine fut défaite à la bataille de Bouxières.

Le 28 février suivant, les Messins chassèrent la garnison lorraine de Louvigny.

Mais, le château fut de nouveau assiégé victorieusement par les Lorrains.

LOUVIGNY (57) - Le château-fort
Les tours rondes avec leurs bouches à feu, adaptation à l'artillerie
LOUVIGNY (57) - Le château-fort

En 1604, avec le traité de Nomeny, le château de Louvigny fut définitivement attribué aux Messins.

En 1633, les Suédois ravagèrent la région de Louvigny ainsi que son château.

En 1635, le seigneur de Seumeuze, alors châtelain de Louvigny laissa à ses cinq enfants la seigneurie.

Le 30 novembre 1680,  Joseph de Bezannes, époux de l'une des filles du sire de Seumeuze,
fit ses reprises pour le château de Louvigny.

La famille Seumeuze, successeurs des Gournay, resta propriétaire du château jusqu'en 1720, date
à laquelle la seigneurie fut vendue à Joseph Faure de Fayolle (1675-1756), écuyer du duc de Berry,
lieutenant-général et directeur en chef pour l'artillerie au département de Touraine.

LOUVIGNY (57) - Le château-fort

En décembre 1789, le chevalier Marc-Sigisbert-Antoine de Bazelaire, seigneur de Saulcy, chevalier,
conseiller à la cour souveraine de Lorraine et Barrois, hérita du château de Louvigny en tant
qu'époux de la défunte Marie-Catherine de Fayolle.

Avec la Révolution Française, les derniers seigneurs de Louvigny furent chassés.

Au début du XIXe siècle, le château fut racheté par l'Abbé Jacques Fristo, prêtre réfractaire.
Après sa mort en 1831, le château passa à ses héritiers puis fut occupé par des
familles d'ouvriers jusqu'au début du XXe siècle.

Au cours de la Première Guerre Mondiale, le château fut gravement endommagé.

Il fait l'objet depuis quelques années de restaurations ponctuelles par des passionnés.

LOUVIGNY (57) - Le château-fort
La courtine nord avec ses ouvertures, rappelant la transformation en château de plaisance

Les vestiges de cette ancienne forteresse sont encore imposants avec ses quatre tours rondes en partie
arasés reliées par les courtines encore hautes et épaisses de plus de 2 mètres. De forme rectangulaire,
ce château s’apparente aux forteresses philippiennes, modèle de fortifications érigées sous
Philippe Auguste et ses successeurs.

A l'est, un pont de trois arches surplombant le fossé permettait, jusqu'en 1780, de pénétrer à
l'intérieur du château en passant sous le porche d'entrée. Les mâchicoulis et les archères ont
quasiment disparu pour faire place à des fenêtres à meneaux plus grandes, signes
de la transformation en château de plaisance.

LOUVIGNY (57) - Le château-fort

LOUVIGNY (57) - Le château-fort
Porterie (photo "Les Amis du Vieux Louvigny"
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Situation du village de Louvigny en Moselle


Localisation du château dans le village de Louvigny
(Vous pouvez agrandir la carte en cliquant  ici)
  
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samedi 1 février 2014

NANCY (54) - Musée lorrain : Stèles gallo-romaines figurant le dieu Mercure

Dans les collections d'art gallo-romain qu'expose le Musée Lorrain de Nancy,
nous trouvons une série de stèles représentant le dieu Mercure.

Fils de Jupiter et de la nymphe Maïa, fille d'Atlas, Mercure était le dieu
fil de Jupiter et de la Nymphe Maïa fille d'Atlas.
fil de Jupiter et de la Nymphe Maïa fille d'Atlas.
fil de Jupiter et de la Nymphe Maïa fille d'Atlas.
du commerce, des voyages et messager des autres dieux du panthéon mythologique romain,

Équivalent de l'Hermès grec, il était vénéré le 15 mai.

Avec plus d'une centaine de représentations, le dieu Mercure figure parmi les divinités
les plus vénérées par les Médiomatriques et les Leuques, peuples emblématiques
de la Lorraine gallo-romaine.

Ses attributs traditionnels sont la bourse, le pétase (chapeau rond à bord large et plat, parfois doté d'ailes), le caducée, des sandales parfois ailées ainsi qu'un coq et/ou un bouc, figurés à ses pieds.

Mais certaines représentations lorraines figurent Mercure différemment :
 - soit en compagnie du dieu Bacchus enfant, lui tendant une grappe de raisin
(Stèle de Hatrize)
-  - soit en compagnie du dieu Bacchus enfant
 (Stèle de Sivry-au-Val)
- soit jouant de la lyre, en compagnie d'un griffon
(Stèle de Cutry).

NANCY (54) - Musée lorrain : Dieu Mercure - Sivry-au-Val (54)
Stèle en calcaire découverte à Sivry-au-Val (Meurthe-et-Moselle) - IIe siècle ap. JC
 Le dieu Mercure est représenté avec ses attributs habituels : bourse tenue de sa main droite,
caducée de sa main gauche et à ses pieds, un coq à sa droite, et un bouc à sa gauche.
On remarquera l'enfant semblant caresser le bouc ; s'agit-il du dieu Bacchus enfant ?

NANCY (54) - Musée lorrain : Dieu Mercure - Giriviller (54)
 Stèle en grès découverte à Giriviller (Meurthe-et-Moselle) - IIe siècle ap. JC
Le dieu Mercure est figuré là aussi avec ses attributs classiques : bourse tenue de sa main droite,
caducée de sa main gauche, coiffé du pétase, la tête du bouc est visible
sous la bourse ; mais pas de coq à ses pieds.

NANCY (54) - Musée lorrain : Dieu Mercure - Giriviller (54)
Stèle en grès rose découverte à Giriviller (Meurthe-et-Moselle) - IIe siècle ap. JC
 Le dieu Mercure est reconnaissable avec ses caractéristiques traditionnelles :
bourse tenue de sa main droite, caducée de sa main gauche,
coiffé du pétase, le bouc placé derrière ses jambes ;
mais pas de coq à ses pieds.

NANCY (54) - Musée lorrain : Dieu Mercure - Abreschviller (57)
Stèle en calcaire trouvée à Abreschviller (Moselle) - IIIe siècle ap. JC
Bien que largement détruite, cette stèle montre le dieu Mercure avec sa bourse tenue
de la main droite, et son caducée de la main gauche. Vu l'état partiel de la sculpture,
on ne peut confirmer la présence d'un coq et/ou d'un bouc à ses pieds.

NANCY (54) - Musée lorrain : Dieu Mercure - Hatrize (54)
Stèle en calcaire exhumée à Hatrize (Meurthe-et-Moselle) - IIe siècle ap. JC
La sculpture est coupée juste au-dessous du bas ventre, ne permettant donc pas d'identifier
un éventuel coq et/ou bouc. Ce Mercure, coiffé d'un pétase ailé, se différencie des autres
par la présence du dieu Bacchus enfant sur son bras gauche à qui il va donner une
grappe de raisin qu'il tient levée avec sa main droite.

NANCY (54) - Musée lorrain : Dieu Mercure - Hutelhouse (54)
Stèle en calcaire découverte à Hultehouse (Moselle) - IIe siècle ap. JC
Ce Mercure mutilé présente le fameux caducée sur son bras droit
et un coq place, en bas, entre ses jambes.

NANCY (54) - Musée lorrain : Dieu Mercure - Cutry (54)
Stèle en calcaire provenant de Cutry (Meurthe-et-Moselle) - IVe siècle ap. JC
Représenté avec un griffon à ses pieds, le dieu Mercure
semble jouer de la lyre à cinq cordes.

NANCY (54) - Musée lorrain : Dieu Mercure - Vesheim (57)
Stèle en grès rose trouvée à Vesheim (Moselle) - Fin du 1er siècle ap. JC
On retrouve dans cette superbe sculpture, un Mercure avec tous ses attributs traditionnels
: Bourse tenue de la main droite, caducée soutenu de la main gauche, pétase ailé,
et bouc cornu se tenant derrière ses jambes.

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