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jeudi 12 avril 2012

NORROY-LE-VENEUR (57) - L'église Saint-Pierre (Extérieur)

Le village de Norroy-le-Veneur possède l'une des plus belles églises gothiques fortifiées de Moselle bâtie à flanc de coteau. Je vous invite à découvrir son histoire et son architecture extérieure.

Aperçu historique

Le village de Norroy-le-Veneur est mentionné pour la première fois en 960 sous l'appellation de Nogaredum dans un diplôme émanant de l'empereur Otton 1er, conservé dans le cartulaire de la collégiale Saint-Pierre de Liège. Les chanoines liégeois étaient alors les seigneurs du village et, à ce titre, nommaient à la cure.

En 1049, le village de Norroy-le-Veneur est mentionné dans les chartes de l'abbaye de Saint-Arnould de Metz sous la forme de Nogaredum. On peut alors aisément imaginer que le chantier de l'église était sur le point de s'achever car la crypte romane (des années 1050), qui est conservée sous le chœur gothique, appartenait à un édifice remontant aux années 1100. En tout cas, l'église fut consacrée par l'évêque de Toul, Bruno d'Eguisheim-Dabo (1026-1052).

D'après un document daté du 18 avril 1138, deux autres seigneurs étaient possessionnés à Norroy-le-Veneur : le chevalier Dodon de Norroy (miles de Noeretz) et l’Hôpital Saint-Nicolas de Metz (son histoire est consultable ICI). A cette époque, ont-il favorisé l'église paroissiale ? Nul ne sait.

En juin 1231, les chanoines de Saint-Pierre de Liège décidèrent de faire un échange de biens et droits (bois, terres, cens, hommages, hommes, domaines, bans et justice) avec les moines de l'abbaye de Saint-Vanne de Verdun en raison de l'éloignement et de l'insécurité croissante qui ne leur permettaient pas de mener une bonne administration. Ainsi, le nouvel abbé verdunois avait pour fonction première de nommer l'officiant de l'église Saint-Pierre et de prélever la dîme.

En 1236, après un bref passage entre les mains verdunoises, le village et l'église de Norroy-le-Veneur passèrent à l'abbaye Saint-Vincent de Metz qui, en échange, se dessaisit de la terre d'Ornaville. L'église fut alors rénovée et même reconstruite en style gothique au cours du XIIIe siècle.

Dès le XIVe siècle, Norroy-le-Veneur fut placé au cœur des conflits opposant notamment les comtes de Bar puis les ducs de Lorraine à la ville de Metz (guerre des Quatre-Seigneurs de 1324-1326 ; guerre de 1362-1365 ; opérations militaires de 1369). Son église en subit les conséquences. Voyant l'état de délabrement du voûtement de la nef, les religieux de Saint-Vincent de Metz commandèrent une restauration, avec le financement précieux de quelques seigneurs locaux. En remerciement, les clefs de voûtes de la nef reçurent les blasons peints des bienfaiteurs.
La guerre de La Hottée de Pommes entre Lorrains et Messins entre 1427 et 1431 et celle de 1444-1445 plaça encore Norroy-le-Veneur et son église au centre des combats.

De 1470 à 1503, les hostilités étant loin d'être finies, le village de Norroy-le-Veneur devint, dès 1475, l'un des centres des opérations militaires du duc René II de Lorraine contre les Messins, en même temps que Semécourt. Ainsi, tandis que la nef et le clocher de l'église furent percées des canonnières, le chevet reçut, dans l'angle nord-est, une échauguette (dont il ne reste que les corbeaux).

Le 5 mars 1490, d'après les "Chroniques" de Philippe de Vigneulles, les Messins brulèrent le village et son église ("... partirent de Metz plusieurs compaignons de guerre à chevaulx et à pieds... et furent courre à Rombay et à Moyeuvre ; puis ils revinrent par Norroy devant Metz, et la baillèrent, réservé les maisons qui sont du ban Saint Vincent au dit lieu") ; puis libérèrent leur "compatriotes" alors prisonniers dans la crypte romane. Les remparts, qui enserraient l'église, ne lui furent vraiment d'aucune utilité.

A la fin du XVe et au début du XVIe siècles, l'église subit de gros travaux qui supprimèrent la quasi totalité de l'édifice mis à part la crypte romane. Voûtée sur croisées d'ogives à clefs blasonnées (des seigneurs de Norroy-le-Veneur et du duc de Lorraine), la nef s'orna, dès 1510, de superbes vitraux, œuvres de Thomas de Clinchamps, maître-verrier de la cathédrale de Metz.

En 1540, l'ecclesia de Nauriaco faisait partie du diocèse de Metz, archidiaconé de Marsal, archiprêtré de Rombas avec l'abbé de Saint-Vincent de Metz comme collateur.

En 1574, le chœur de l'église menaçant de s'effondrer, les fonctionnaires du duc Charles III de Lorraine enjoignirent les religieux de Saint-Vincent de Metz de s'occuper de son rétablissement. Essuyant un refus, le duc de Lorraine fit alors saisir les dîmes allouées à l'église pour financer les travaux de restauration, qui s'achevèrent par l'ajout de bretèches sur le chevet. Ce dernier devint ainsi une véritable tour défensive.

Au cours de la Guerre de Trente, Norroy-le-Veneur et son église subirent de sérieux désagréments. En 1620, le curé N. Guerquin finança, avec les dîmes, les réparations de l'église qui en avait apparemment besoin. En 1636, les Suèdois saccagèrent et incendièrent Norroy-le-Veneur et son église, obligeant encoreà de nouvelles réparations.

En 1655, l'enceinte fortifiée de l'église de Norroy-le-Veneur fut abattue sur les injonctions du gouverneur royal.

La charge de vicaire, créée à Norroy-le-Veneur par l'évêque de Metz en 1690, fut transférée à Fèvres en 1755.

Après la destruction partielle du clocher, celui-ci fut reconstruit et accueillit de nouvelles cloches le 31 décembre 1691 grâce au prévôt de Norroy-le-Veneur, Jean de Larue, qui en fit généreusement don. Une nouvelle cloche, beaucoup plus volumineuse, fondue en 1733 et provenant de l'abbaye de Senones, remplaça celle de 1691.

De 1852 à 1854, une nouvelle charpente couverte de tuiles creuses remplaça l'ancienne alors devenue vétuste.

En 1849, le maître-verrier messin Charles-Laurent Maréchal (1801-1887), restaurateur des vitraux de la cathédrale de Metz à partir de 1842 (jusqu'en 1872), fut chargé de redonner tout leur éclat à ceux de Thomas de Clinchamps. Ses ateliers, situés 4 rue de Paris, accueillirent alors les verrières pour une remise en état.

Le 16 février 1930, la crypte fut classée monument historique.

En 1934, l'Atelier de l'art du vitrail Thiria, actif à Metz de 1859 à 1938, reprit les précédentes restaurations des vitraux du 1er quart du XVIe siècle.

Le 21 septembre 1983, c'est l'église fut entièrement protégée et, en 1994, les vitraux furent inscrits à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques.

Enfin, de février 1998 à octobre 2007, l'église fut patiemment restaurée avec notamment la restitution des bretèches du chevet fortifié (dont je n'ai pas encore eu le privilège de voir, mais je vous invite à consulter le site internet de la mairie de Norroy-le-Veneur pour admirer le résultat en cliquant ICI)

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Vous pouvez agrandir les vignettes en cliquant dessus !

NORROY-LE-VENEUR (57) - L'église Saint-Pierre (Extérieur)
 Vue d'ensemble depuis le nord et le sud
NORROY-LE-VENEUR (57) - L'église Saint-Pierre (Extérieur)

NORROY-LE-VENEUR (57) - L'église Saint-Pierre (Extérieur)
 Le chevet fortifié avec les corbeaux recevant les bretèches
NORROY-LE-VENEUR (57) - L'église Saint-Pierre (Extérieur)

NORROY-LE-VENEUR (57) - L'église Saint-Pierre (Extérieur)
Le chevet fortifié - Fenêtre gothique à remplages trilobés
et rosace quadrilobée


NORROY-LE-VENEUR (57) - L'église Saint-Pierre (Extérieur) - Vierge à l'Enfant
Le chevet fortifié - niche gothique avec une
Vierge à l'Enfant du XVe siècle

NORROY-LE-VENEUR (57) - L'église Saint-Pierre (Extérieur)
Côté nord - L'escalier menant au nord de l'église.
Baies romanes et gothiques puis restes de corbeaux
soutenant une ancienne échauguette
NORROY-LE-VENEUR (57) - L'église Saint-Pierre (Extérieur)

NORROY-LE-VENEUR (57) - L'église Saint-Pierre (Extérieur)

NORROY-LE-VENEUR (57) - L'église Saint-Pierre (Extérieur)
Voilà à quoi devait ressembler globalement l'échauguette de Norroy-le-Veneur
(dessin tiré de l'encyclopédie médiévale de Violet-le-Duc)

NORROY-LE-VENEUR (57) - L'église Saint-Pierre (Extérieur)
 Clocher fortifié avec ses ouvertures de tir et ses baies géminées
de l'étage campanaire
NORROY-LE-VENEUR (57) - L'église Saint-Pierre (Extérieur)

NORROY-LE-VENEUR (57) - L'église Saint-Pierre (Extérieur)

NORROY-LE-VENEUR (57) - L'église Saint-Pierre (Extérieur)
 Clocher fortifié - Canonnière à lunettes du XVIe siècle
et archères à étrier modifiée pour l'artillerie.
NORROY-LE-VENEUR (57) - L'église Saint-Pierre (Extérieur)

NORROY-LE-VENEUR (57) - L'église Saint-Pierre (Extérieur)
 La nef - Bas-côté sud avec ses baies et ses canonnières.
NORROY-LE-VENEUR (57) - L'église Saint-Pierre (Extérieur)

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Localisation du village de Norroy-le-Veneur en Moselle


Situation de l'église Saint-Pierre dans Norroy-le-Veneur
(Vous pouvez agrandir la carte en cliquant ICI )
 
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Copyright - Olivier PETIT - 2012 © Tous droits réservés

samedi 7 avril 2012

GERMINY (54) - Le calvaire Saint-Languit

En venant de Thuilley-aux-Groseilles, vous pourrez découvrir un joli calvaire remontant au XVIe siècle, réputé pour être l'objet d'une vénération par les agonisants.

A la Révolution, le calvaire fut naturellement mis à bas.

En 1808, comme le rappelle l'inscription gravée sur le fût de la croix, le calvaire fut rétabli.

En 1917, un soldat russe décapita la Vierge.

En 1968, des militaires de la base aérienne d'Ochey s'amusèrent à décapiter le Saint-Jean-L'Évangéliste. Ils furent retrouvés et punis pour cet acte odieux.

En 1971, les têtes de la Vierge et de Saint-Jean-L'Évangéliste furent refaites.

En 1984, la Vierge fut de nouveau étêtée.

Enfin, après une restauration, le calvaire a retrouvé tout son éclat d’antan.

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Vous pouvez agrandir les vignettes en cliquant dessus !

GERMINY (54) - Le calvaire Saint-Languit
Le calvaire dans son cadre champêtre

GERMINY (54) - Le calvaire Saint-Languit

GERMINY (54) - Le calvaire Saint-Languit
Le Christ en croix entouré de la Vierge et de Saint-Jean l’Évangéliste, reposant
sur des fûts cannelés
GERMINY (54) - Le calvaire Saint-Languit

GERMINY (54) - Le calvaire Saint-Languit
La Vierge et Saint-Jean l’Évangéliste

GERMINY (54) - Le calvaire Saint-Languit
Saint-Jean l’Évangéliste
GERMINY (54) - Le calvaire Saint-Languit

GERMINY (54) - Le calvaire Saint-Languit

GERMINY (54) - Le calvaire Saint-Languit
La Vierge
GERMINY (54) - Le calvaire Saint-Languit

GERMINY (54) - Le calvaire Saint-Languit

GERMINY (54) - Le calvaire Saint-Languit
Le Christ
GERMINY (54) - Le calvaire Saint-Languit

GERMINY (54) - Le calvaire Saint-Languit

GERMINY (54) - Le calvaire Saint-Languit
La Mort avec sa faux et l'inscription INRI

GERMINY (54) - Le calvaire Saint-Languit
L'inscription à la base du fût supportant le croisillon

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 Localisation du village de Germiny en Meurthe-et-Moselle
        
Situation du calvaire à l'entrée du village de Germiny et par rapport au château d'en-haut (visible ici)
(Vous pouvez agrandir la carte en cliquant ICI )

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Copyright - Olivier PETIT - 2012 © Tous droits réservés

mardi 3 avril 2012

LE PRINTEMPS DU PATRIMOINE EN PAYS D'EPINAL

Le Pays d’Épinal propose, jusqu'au 5 mai 2012, de découvrir le patrimoine
à travers 4 conférences et 1 visite guidée gratuites.


Programme :

Samedi 7 avril de10h à 12h
"Restauration et mise en valeur de la manufacture royale de Bains-les-Bains"
par Monsieur François Cornevaux, de la manufacture royale de Bains-les-Bains

Samedi 14 avril de 10h à 12h
"L'Imagerie d'Epinal, d'hier à aujourd'hui"
par Madame Claire Barcik, de l'Imagerie d'Epinal
et MonsieurTarantola, président de l'association "Les Amis de l'Imagerie"

Samedi 21 avril de 10h à 12h
"Les brasseries vosgiennes"
par Monsieur Bernard Saunier, de l'écomusée vosgien de la brasserie de Ville-sur-Illon

Samedi 28 avril de 10h à 12h
"Patrimoine et Histoire de la Vallée de l'Ourche"
par Messieurs Delamontay et Huguet et Madame Boulian (de l'association Saône Lorraine)

Samedi 5 mai de 9h à 12h
Balade-conférence  : Le patrimoine industriel textile à Thaon-les-Vosges
Rendez-vous à partir de 8h45 sur le parking de la Rotonde de Thaon-les-Vosges.
Matinée animée par Mr Edelblutte, enseignant-chercheur en géographie à l'université Nancy.

Lieu des conférences :
Salle de réunion d'Epinal Golbey Developpement
Parc de Reffye
88 000 Épinal.

Renseignements :

Syndicat Mixte du Pays d'Epinal, Coeur des Vosges
29 avenue Victor Hugo
88 000 Épinal
  tél : 03 29 35 12 69
fax : 03 29 35 22 03

lundi 2 avril 2012

PONT-SAINT-VINCENT (54) - Le domaine du château de la Tournelle

Poursuivons la visite du patrimoine vincipontain, en découvrant le domaine du château de la Tournelle, qui remplaça, au XIXe siècle, l'ancien château renaissance de Jean 1er de Rambouillet.

Aujourd'hui, ce lieu chargé d'histoire est occupé par le Centre de Documentation et d'Information (CDI)
du Lycée professionnel de Pont-Saint-Vincent.


Découvrez les autres curiosités de la ville de Pont-Saint-Vincent en cliquant ICI
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Aperçu historique 

Jean 1er de Rambouillet créa le domaine de la Tournelle, vers 1570, grâce à terrain offert par Marie de Luxembourg, duchesse de Mercœur (1562-1623). Un premier château renaissance y fut donc construit.

Jean II de Rambouillet, qui succéda à son père, obtint le droit d'édifier, en 1602, sur son domaine, un "colombier à fuys", dont on peut aujourd'hui admirer l'architecture. Reprenait-il alors l'emplacement d'un autre colombier, c'est fort possible !

A la fin du XVIIe, un certain Pierre Lequeux devint le nouveau châtelain de Pont-Saint-Vincent.

En 1789, François Antoine du Boys de Riaucourt (1761-1841), avocat général à la Cour des comptes (qui eut aussi la fonction de président de la Chambre des Comptes de Lorraine du 16 mai 1756 au 1er mai 1781) occupa le château. Le 9 octobre 1793, après quatre années, le récent seigneur de Pont-Saint-Vincent fut déchut de ses titres de noblesse.

De 1814 à 1845, le château de la Tournelle fut remis à un ancien officier de l'armée impériale napoléonienne prénommé Pierre Joseph Doncourt.

Après trente années à Pont-Saint-Vincent, la famille Doncourt revendit le domaine au marquis Marie-Laurent de Bonfils qui fit reconstruire le château en style néo-classique par l'architecte nancéien J. Corrard des Essarts qui prit soin de faire figurer les initiales du nouveau maître sur un blason situé au sommet de la lucarne centrale du toit. L'ancien château renaissance de Jean de Rambouillet disparu dans les fondations de la nouvelle demeure. La famille Bonfils resta au château de la Tournelle jusqu'en décembre 1951

En 1953, la municipalité de Pont-Saint-Vincent se porta acquéreur du château.

En 1968, les bâtiments constituants le lycée professionnel furent bâtis à proximité du château.

En 1986, la Région Lorraine fut autorisée à utiliser le château pour héberger une partie du lycée professionnel (CDI ainsi que des salles de cours et le Pôle Sanitaire et Social).

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Vous pouvez cliquer sur les vignettes pour les agrandir !

PONT-SAINT-VINCENT (54) - château de la Tournelle
Façade nord
PONT-SAINT-VINCENT (54) - château de la Tournelle

PONT-SAINT-VINCENT (54) - château de la Tournelle

PONT-SAINT-VINCENT (54) - château de la Tournelle
L'escalier monumental menant au corps central composé de trois niveaux : le rez-de-chaussée (constitué de 3 portes battantes), l'étage (avec trois portes battantes donnant sur un balcon sur corbeaux et garde-corps en fer forgé) et les combles (comportant trois lucarnes à volutes : une rectangulaire et deux arrondies)

PONT-SAINT-VINCENT (54) - château de la Tournelle
Corps central le balcon
PONT-SAINT-VINCENT (54) - château de la Tournelle

PONT-SAINT-VINCENT (54) - château de la Tournelle
Le toit avec ses trois lucarnes : deux en forme d’œil de bœuf
encadrant celle du milieu rectangulaire.

PONT-SAINT-VINCENT (54) - château de la Tournelle
La lucarne centrale rectangulaire avec le blason couronné aux initiales des Bonfils

PONT-SAINT-VINCENT (54) - château de la Tournelle
Blason aux armes des Bonfils

PONT-SAINT-VINCENT (54) - château de la Tournelle
Toit - Lucarne droite en forme d’œil de bœuf.

PONT-SAINT-VINCENT (54) - château de la Tournelle
Rez-de-chaussée - Porte battant droite

PONT-SAINT-VINCENT (54) - château de la Tournelle
Rez-de-chaussée - Porte battant droite : Clef

PONT-SAINT-VINCENT (54) - château de la Tournelle
Rez-de-chaussée - Porte battant gauche

PONT-SAINT-VINCENT (54) - château de la Tournelle
Rez-de-chaussée - Porte battant gauche : clef

PONT-SAINT-VINCENT (54) - château de la Tournelle
Façade arrière sud

PONT-SAINT-VINCENT (54) - château de la Tournelle
Façade ouest - Petit balconnet sur corbeaux et garde-corps en fer forgé.

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En complément du château, les seigneurs des lieux firent édifier, au XVIIe siècle et XVIIIe siècle, un colombier et une fontaine à l'arrière de la propriété. Le colombier a été restauré en 1998-1999 par les compagnons du devoir sous la direction de Monsieur le Proviseur Jean-Claude Wolf ; aujourd'hui, il sert de lieu d'exposition pour le lycée.

PONT-SAINT-VINCENT (54) - colombier et fontaine
 Le colombier et la fontaine
PONT-SAINT-VINCENT (54) - colombier et fontaine

PONT-SAINT-VINCENT (54) - colombier
 Le colombier
PONT-SAINT-VINCENT (54) - colombier

PONT-SAINT-VINCENT (54) - colombier

PONT-SAINT-VINCENT (54) - fontaine
 La fontaine
PONT-SAINT-VINCENT (54) - fontaine

PONT-SAINT-VINCENT (54) - fontaine

PONT-SAINT-VINCENT (54) - fontaine
 Fontaine - Tête à l'antique
PONT-SAINT-VINCENT (54) - fontaine
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Localisation de Pont-Saint-Vincent en Meurthe-et-Moselle



Carte avec les curiosités à voir à Pont-Saint-Vincent (les épingles sont cliquables)
(Vous pouvez agrandir cette carte en cliquant ICI )

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Copyright - Olivier PETIT - 2012 © Tous droits réservés